Il n’y a pas de yogourt sans lait. On commence donc par traire nos vaches laitières Le lait est ensuite acheminé à l’usine de transformation.

Il n’y a pas de yogourt sans lait. On commence donc par traire nos vaches laitières Le lait est ensuite acheminé à l’usine de transformation.
On chauffe le lait à haute température pendant quelques secondes, puis refroidi. Ce procédé permet d’assurer sa salubrité et d’augmenter sa durée de conservation.
On fermente le lait à l’aide de bactéries que l’on appelle Lactobacillus bulgaricus et Streptococcus thermophilus. Heureusement, nul besoin de les prononcer pour les savourer!
On incube la préparation afin de permettre aux bactéries de faire leur travail, c’est-à-dire de transformer une partie du lactose (sucre du lait) en acide lactique. Ce procédé épaissit le lait et lui donne le goût acidulé propre au yogourt.
On refroidit le yogourt, qu’on peut ensuite aromatiser, avant de l’emballer et de le distribuer.
Après avoir été refroidi, ce yogourt est brassé afin d’obtenir une texture crémeuse, moins épaisse que le yogourt ferme ou de type balkan. Souvent additionné de fruits ou d’autres saveurs, il se déguste tel quel ou peut agrémenter vos desserts et vos smoothies.
Éviter de porter à ébullition la préparation lorsque le yogourt a été ajouté.
Le lait et le yogourt possèdent des valeurs nutritives semblables mais ils ont quelques petites différences.
En cas d’intolérance au lactose, il serait préférable d’utiliser du lait sans lactose pour faire votre yogourt maison.
La mention «pasteurisé» n’est pas obligatoire dans la liste d'ingrédients du yogourt du commerce.